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Contre les chagrins
DE LA VIE
le voyage n’est-il pas le meilleur remède ?
Michel Tournier
Mardi 18 février 2020
Nous tenterons la compagnie Sky pour notre vol intérieur afin de rejoindre Santiago du Chili. Rien à redire même si nous avions un peu d’appréhension au vu des avis sur les sites… Mais tout était au top pour les deux heures de vol. A peine arrivé, nous irons prendre la voiture de location que nous avons réservé pour deux jours, pourtant nous la laisserons au garage de l’hôtel à Valparaiso : plusieurs personnes nous ont en effet fortement déconseillé de rouler dans la ville au vu des vols et agressions diverses !
Nous ne nous arrêterons pas du tout à Santiago : trop grande ville où rien ne nous tente : avec plus de 6 millions d’habitants, c’est la plus grande ville du Chili…
Après une heure trente de route, nous arriverons à notre hôtel situé dans le quartier historique de Valparaiso.
VALPARAISO





Le port fonctionne encore, mais la ville trouve un nouveau dynamisme grâce à son charme qui attire le tourisme local et international. La ville est construite sur 42 collines qui forment une sorte d’immense amphithéâtre avec une vue extraordinaire sur le centre-ville et la mer. Ces collines ont leurs propres rues et des ascenseurs (les funiculaires) qui les relient au centre historique. Plus l’accès de la colline est difficile plus la population est défavorisée. Il y a donc quelques collines fortement déconseillées aux touristes car assez dangereuses.







Mais le charme de cette ville se trouve surtout dans toutes ses maisons colorées et dans le street-art qui habille les murs. Il est autorisé de manière très libre dans les rues et certains artistes se sont forgés une renommée internationale.
Nous parcourrons les rues au hasard, même si la ville offre une facette de pauvreté évidente.





















Malgré tout, le cœur n’est plus aussi léger et la suite de ce voyage s’avère empli de questions : le coronavirus commence à faire de plus en plus parler de lui et nous ne pouvons faire abstraction des peurs qui nous parviennent par le biais des réseaux.